mardi 31 août 2010

- Les embaufiés font du mignon le mardi soir -




Toulouse>Pinsaguel>Portet>Toulouse ~ 28km ~ 49912 tours de pédale









Paleo-Future : Retour vers le futur du passé


Paleo-Future est un blog qui nous donne la vision que nos aïeux avaient du futur.

Le mieux pour comprendre, c'est de s'y rendre.

Voici l'adresse : www.paleofuture.com



lundi 30 août 2010

Une bonne vieille croutonade pour ces bons vieux soupeurs et non pas sapeurs...


Le terme soupeur est un mot d'argot désignant plusieurs pratiques sexuelles déviantes (paraphilies), pratiquées généralement par des hommes (souvent homosexuels), et ayant comme principal caractéristiques l'attrait pour les sécrétions d'autres hommes.

Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes1) puis récupéré pour être consommé (il était parfois attaché par une ficelle). On emploie plus rarement le terme "croûtenard", qui a pourtant l'avantage d'être plus précis2. Cette pratique était notamment répandue à Paris durant l'après-guerre, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.

De nos jours, il arrive encore qu'on trouve de gros croûtons de pain abandonnés dans certains urinoirs publics ou semi-publics (bars, gares...), mais il est difficile d'en savoir les causes...


On a également désigné par ce mot des individus fréquentant les
maisons de prostitution, et qui prenaient plaisir à consommer généralement à même le sexe féminin la semence abandonnée par les clients précédents (ces individus étaient généralement impuissants). D'autres appellations existent pour qualifier cet acte, comme "faire dînette".

Dans son autobiographie One two two3, l'ex-prostituée Fabienne Jamet évoque ainsi cette pratique : « A l'époque où je dirigeais le 122, j'avais un soupeur qui me prenait trente à quarante foutres à chaque visite ». 4

Parfois, les prostituées "truquaient" leur prestation et n'offraient qu'un ersatz de sperme en se badigeonnant les poils pubiens d'un mélange à base de blanc d'œuf, d'urine et de quelques gouttes d'eau de Javel.5


http://fr.wikipedia.org/wiki/Soupeur


"Et c’est là, que la « croutonnade » entre en scène, attention, je vous préviens ça tache ! On m’avait dit, et je ne suis pas le seul à l’avoir entendu, que dans ces vespasiennes, dans le petit canal destiné à recevoir l’urine, il y avait des morceaux de pains flottant librement ou bien amoureusement agencés dans de mignons petits filets à trou-trous comme ceux dans lesquels on vous vend les oignons ou les échalotes !

« Quoi, du pain dans des filets à trou-trous dans les pissotières parisiennes ? Mais pourquoi donc ? », me direz-vous fort justement ! Car il ne vous aura pas échappé, lecteurs sagaces, que d’une part que du pain n’a rien à faire dans un filet mais, que de plus, filet ou non, du pain n’a rien du tout à faire dans une pissotière !

Les plus crédules et mignons d’entre vous, auront sans doute une explication rationnelle à fournir. Ils imagineront peut-être des hommes souhaitant donner à manger aux pigeons, et qui de ce fait, auraient bourré leurs poches de morceaux de pains, lesquels auraient pu tomber par inadvertance dans la pissotière, au moment ou ils allaient se soulager. Ca aurait pu être la raison de la présence du pain en cet endroit, mais vous avez faux !

Dans les faits, la légende, mais est-ce une légende, prétendait que ces morceaux de pains, étaient laissés là à dessein, par des gens étranges et passablement cradingues que l’on nomme urophiles.

L'
urophilie ou ondinisme (ou urolagnie) est une paraphilie caractérisée par une forte excitation érotique éprouvée en buvant (ou faisant boire), ou en se recouvrant le corps (ou recouvrant le corps de son partenaire) d'urine. Chez certaines personnes, cette pratique est liée au BDSM (Bondage et Discipline, Domination et Soumission). Une variante de cette pratique consiste à uriner dans ses sous-vêtements et ses vêtements, parfois en public. Cette pratique est également connue sous le diminutif de "douche dorée" (ou «golden shower» pour les anglophones).

Ces personnes, selon la légende, auraient donc laissé ce pain, macérer dans l’urine des vespasiennes, puis seraient revenus le soir afin de le récupérer gorgé d’urine, afin de le consommer. Cette préparation culinaire, assez peu ragoûtante, j’en conviens, était appelée « croutonnade ». Les histoires colportées étaient toutes d’accord sur la présence de ce pain dans les vespasiennes, sur l’utilisation qui en était faite, sur le joli nom donné à la préparation (croutonnade) mais variaient ensuite sur le modus operandi de la consommation. Certaines histoires mettaient en scène de pauvres types seuls, dégustant leur croutonnade dans le plus grand secret, tandis que d’autres scénarios, avançaient que ces urophiles préféraient consommer leur plat favori en groupe.

Quoiqu’il en soit, même si la rumeur persiste à survivre aux vespasiennes, je ne sais toujours pas encore aujourd’hui, si la croutonnade fut une réalité aujourd’hui tombée en désuétude du fait de Jacques Chirac et de son goût immodéré pour le mobilier Decaux, ou bien une légende urbaine un peu cracra mais plutôt rigolote !

Enfin, réelle ou non, cette pratique m’aura permis, de faire un bel article richement documenté dans lequel vous aurez appris des tas de trucs, et de coller plein de mots-clés super ! Car amusez-vous à taper « croutonnade » ou « croutonade » sur Google, et vous constaterez qu’il n’y a qu’une
occurrence ! C’est super, je vais enfin avoir la première place dans une requête sur Google !"
http://psychotherapeute.blogspot.com/2007/03/la-soupe-hmmm-on-va-se-rgaler.html la source de l'articles

Nike SB - Zoom Paul Rodriguez 4 Commercial

Joe Flemke: A Short Skate film

No comment.



Joe Flemke: A Short Skate film
envoyé par BrettNovak. - Foot, rugby, surf et encore plus de sports en vidéo.

mercredi 25 août 2010

La nouvelle rappelle à la mode

Big Boi (né Antwan André Patton le 1er février 1975 à Savannah en Géorgie) est un artiste et producteur américain de hip-hop membre du duo alternatif OutKast. On lui donne également les surnoms de "Daddy Fat Sacks", "General Patton", "Sir Lucious L. Leftfoot", "Billy Ocean", "Hot Tub Tony" et "Francis the Savannah Chitlin' Pimp". (Source :http://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Boi)


Antwan André Patton (born February 1, 1975), better known by his stage name Big Boi, is an American rapper, song-writer, record producerand actor, best known for being a member of American hip-hop duo OutKast alongside Andre 3000. (Source:http://en.wikipedia.org/wiki/Big_Boi)

Son dernier album "Sir Lucious Left Foot... The Son of Chico dusty est disponible depuis le 2 Juillet sur Itunes store (ici)...




Et à croire qu'on aime bien quand les membres de groupes font des chansons en solo, voici un track de Cee Lo Green

Cee-Lo est auteur-compositeur-interprète, rappeur et producteur américain évoluant aussi bien dans le Hip-Hop, le Funk, leR&B ou la Soul. Il est principalement connu comme membre de l'un des groupes pionniers du Dirty South, Goodie Mob, actif depuis 1995, qu'il quittera en 1999. Outre une carrière en solo, il est également célèbre pour son duo formé avec le producteur Danger Mouse, Gnarls Barkley. (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cee-Lo)

Thomas DeCarlo Callaway (born May 30, 1975),[1] better known by his stage name Cee Lo Green, is an American hip hop, funk, soul, andR&B musician. He is a singer, rapper, songwriter, and record producer, best known as a member of Goodie Mob and more recently Gnarls Barkley, and has also recorded two critically acclaimed solo LPs. (Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Cee-Lo_Green)






Cee Lo Green "Fuck You"


Que du beau monde pour finir



jeudi 19 août 2010

MOTIN EST A LA MODE AUX STATES


Voila ce que l'on appelle dans le jargon un BEP BEP !




Je ne comprenais pas pour quoi motin a acheté ça, maintenant j'ai compris c' est pour être a la mode a LA !


mercredi 18 août 2010

--- DE CHEZ NOUS ---







La Sapologie n’est pas la Sape
Contre le dévoiement d’un art de vivre congolais
Par Bedel Baouna




Pour les Sapeurs congolais, l’art de « La Sape » ne se résume pas à se vêtir avec bon goût. C’est une philosophie, une véritable quête de soi. Or se développe en France un courant, « La Sapologie », qui se réclame de « La Sape », tout en transgressant les règles les plus élémentaires de la discipline. Un initié nous livre son analyse critique du phénomène.
La scène se passe au Marché Total, dans le deuxième arrondissement de Brazzaville. Des enfants, des jeunes et des adultes s’amassent autour d’un écran de télévision, moyennant une pièce de monnaie. Ils visionnent un DVD sur « La Sapologie » : des Congolais de France y défilent, exhibant leurs vêtements, tout en débitant des commentaires parfois flous.
Le Congo-Brazzaville et l’élégance ont une vieille histoire commune ; c’est une image intemporelle que de voir, un dimanche, les sapeurs dandiner dans l’une des artères les plus célèbres de la capitale, l’Avenue Matsoua. C’est qu’ici on est d’abord « Sapeur » avant d’être musicien, footballeur ou homme politique. Le premier ministre lui-même, Isidore Mvouba, organise chaque été une fête en l’honneur des Sapeurs venus de France. Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Alain Akouala, lui, s’est autoproclamé « sapologue » ; il ne rate pas une manifestation de « La Sapologie ».
Jusque-là, rien d’anormal. Chacun a le droit de faire ce qu’il veut. Mais là où le bât blesse, c’est que « La Sapologie » n’est pas « La Sape ». Bien au contraire, c’est une déviation, une caricature... Ce néologisme fallacieux qu’est « La Sapologie » dérape en effet vers une dictature de l’expression gestuelle. Pis, à cette belle outrance s’ajoutent les fautes de goût. Dans ces DVD, on voit des couleurs inimaginables, le jaune vif mélangé au noir ou au violet, le rouge mélangé au mauve, etc. L’un de ces « sapologues » s’est même surnommé « l’Anglais aux couleurs éclatées ». Une absurdité. Une contradiction dans les termes. Car « La Sape » tire l’une de ses magnifiques sources dans le classicisme anglais et le sapeur y tient. A vrai dire, « La Sapologie » est une transgression nauséabonde ; "La Sape" une tradition agréable. En son temps, André Gide mit en garde ses contemporains contre les déréglementations littéraires. Oui, dans tout art il y a des règles à respecter. Or « La Sapologie » bafoue celles de « La Sape », la vidant de son essence...
« La Sape » est une philosophie
Plus qu’une manière d’être, un snobisme débridé, « La Sape » est par-dessus tout une philosophie. Et, comme celle de l’Antiquité – la meilleure d’ailleurs –, elle consiste à créer une doctrine tout en étant l’incarnation. « La Sape » n’est pas qu’une simple transfiguration du corps en œuvre d’art, elle est une perpétuelle quête de soi. L’identité interroge « La Sape » : Qui suis-je ? En répondant à cette grande question, « La Sape » est le commencement de la merveilleuse guerre pour « l’amitié que chacun se doit ». Toujours pour citer Montaigne, « c’est une absolue perfection, et comme divine, de savoir jouir loyalement de son être... Notre grand et glorieux chef-d’oeuvre c’est de vivre à propos. Toutes autres choses, régner, thésauriser, bâtir, n’en sont qu’appendicules et adminicules pour le plus. »
« La Sape » est une affirmation de la singularité, c’est-à-dire un moyen de s’aimer et de se respecter, sans sombrer dans la perversion de « l’amour-propre ». Oui, un Sapeur est un socratique doublé d’un épicurien. Tandis que le Sapologue croit tout savoir, le Sapeur, lui, « sait qu’il ne sait pas », alors il continue de rechercher la vérité dans la sobriété du plaisir. Mieux encore, le Sapeur est un Saint Paul sur la route de Damas. Il donne un sens à sa vie par cet éternel besoin de se découvrir. « La Sape » le transcende. En réalité, le Sapologue s’habille ; le Sapeur se vêt. Voilà !