vendredi 17 juin 2011

Feria ou pas feria ?

Irrités, des Vicois n'ont pas apprécié les débordements de certains festayres lors de Pentecôte à Vic. Le maire propose d'ouvrir au mois de juillet une réflexion collective.

Vicoises et Vicois ont pour certains mal vécu la feria. « Je ne comprends pas qu'il y ait moins de surveillance que l'an dernier. Samedi, nous n'avons pas vu dans le centre de Vic des gendarmes, et encore moins du personnel de sécurité. Des exactions ont été commises à cet endroit, alors que, l'an dernier, nous n'avons rien eu », soupire une habitante. Pour son voisin, le périmètre de la fête devrait être moins étendu : « Pourquoi ne faisons-nous pas comme à Condom, fermons la ville et faisons payer l'entrée, les casseurs seraient ainsi repoussés ! »

Rue de Carboire, ce ne sont pas tant les dégradations que les odeurs d'urine qui ont gêné les habitants. « Même dans un état normal, les filles et les garçons urinaient contre nos murs et nos portes. Quant à ceux qui étaient entre deux alcools, il ne fallait pas objecter, sinon cela tournait au pugilat », regrette une retraitée en colère.

« Qui va payer les dégradations faites au domaine urbain ? Nos impôts vont encore grimper car, ce jeudi encore, les services municipaux travaillent à dégager et nettoyer la ville. Cela a un coût et il sera sans aucun doute élevé. Qui va payer ? », s'insurge un autre. Aussi, Louis Brocas résume le sentiment général en évoquant « la peur, les dégradations, les cris hystériques de ces jeunes pris de boissons avec leurs excès : Faut-il se barricader chez soi comme le font beaucoup ? » Puis, à l'attention des élus : « N'oubliez pas toutes celles et tous ceux pour qui Pentecôte à Vic est un véritable traumatisme. » Ils sont nombreux c'est certain ; mais sans doute moins nombreux que les festayres qui ont trouvé la feria bon enfant. À côté des dérapages, beaucoup de discussions sont aussi nées sur des pas-de-porte, entre Gersois, mais aussi avec des Toulousains (cette année les plus nombreux avec les Agenais), des gens de Paris, Pau, Cahors et même de Londres.

Pentecôte à Vic ne peut pas plaire à tout le monde. C'est la raison pour laquelle la mairie propose une réflexion collective. Objectif : essayer de prendre en compte les intérêts de chacun.


Le point de vue de Michel Sanroma

Vous parliez d'un pic de fréquentation jamais atteint en 2010. Qu'en est-il en 2011 ?

2011 a fait exploser le record. Si une telle affluence est le signe d'un attrait indiscutable, jusqu'où peut-on prendre le risque d'accueillir sur des espaces inadaptés une présence si nombreuse.

Pentecôte 2011, une réussite ?

Oui, par le remarquable travail de la commission des fêtes, qui s'est traduit par des animations de jour, et une décoration de la ville très appréciée par la population. Les aménagements apportés au plan de circulation interne ont facilité le déplacement des équipes de secouristes. Aucun accident grave n'a été relevé. Les nuits avec une foule immense se sont passées sans incident majeur et pour qui a voulu fréquenter l'espace public, aucune tension, aucune agressivité, n'était perceptible chez les jeunes, majoritairement présents dans les rues et les places.


repères

Le chiffre : 2011

L'année > Des records.2011 a fait exploser le record, 30 000 à 35 000 personnes par jour ont fréquenté Vic-Fezensac pendant la feria.


le débat est ouvert

Les conditions d'hébergement de ce raz-de-marée humain ne sont pas satisfaisantes et ne pourront jamais totalement l'être. Le maire de Vic-Fezensac, Michel Sanroma, en est conscient :

« Faut-il accepter que certains débordements et déversements sur les propriétés privées se multiplient et n'irritent plus de Vicois ? Les questions soulevées ne peuvent rester sans réponse, prévient le maire. Nous les examinerons au cours d'un conseil municipal dédié à cette affaire en juillet. Les Vicois, qui ont une opinion, une suggestion à titre personnel ou collectif, sont invités à les faire connaître, sous forme écrite ou par mail (mairie.vicfezensac@orange.fr). Elles alimenteront le débat qui prendra fin à la décision de l'assemblée municipale. »

Pour ne pas subir, y a-t-il d'autres solutions que de décider, qu'en dehors des corridas, Pentecôte 2012 n'aura pas lieu ?

Michel Sanroma, maire

mardi 31 août 2010

- Les embaufiés font du mignon le mardi soir -




Toulouse>Pinsaguel>Portet>Toulouse ~ 28km ~ 49912 tours de pédale









Paleo-Future : Retour vers le futur du passé


Paleo-Future est un blog qui nous donne la vision que nos aïeux avaient du futur.

Le mieux pour comprendre, c'est de s'y rendre.

Voici l'adresse : www.paleofuture.com



lundi 30 août 2010

Une bonne vieille croutonade pour ces bons vieux soupeurs et non pas sapeurs...


Le terme soupeur est un mot d'argot désignant plusieurs pratiques sexuelles déviantes (paraphilies), pratiquées généralement par des hommes (souvent homosexuels), et ayant comme principal caractéristiques l'attrait pour les sécrétions d'autres hommes.

Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes1) puis récupéré pour être consommé (il était parfois attaché par une ficelle). On emploie plus rarement le terme "croûtenard", qui a pourtant l'avantage d'être plus précis2. Cette pratique était notamment répandue à Paris durant l'après-guerre, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.

De nos jours, il arrive encore qu'on trouve de gros croûtons de pain abandonnés dans certains urinoirs publics ou semi-publics (bars, gares...), mais il est difficile d'en savoir les causes...


On a également désigné par ce mot des individus fréquentant les
maisons de prostitution, et qui prenaient plaisir à consommer généralement à même le sexe féminin la semence abandonnée par les clients précédents (ces individus étaient généralement impuissants). D'autres appellations existent pour qualifier cet acte, comme "faire dînette".

Dans son autobiographie One two two3, l'ex-prostituée Fabienne Jamet évoque ainsi cette pratique : « A l'époque où je dirigeais le 122, j'avais un soupeur qui me prenait trente à quarante foutres à chaque visite ». 4

Parfois, les prostituées "truquaient" leur prestation et n'offraient qu'un ersatz de sperme en se badigeonnant les poils pubiens d'un mélange à base de blanc d'œuf, d'urine et de quelques gouttes d'eau de Javel.5


http://fr.wikipedia.org/wiki/Soupeur


"Et c’est là, que la « croutonnade » entre en scène, attention, je vous préviens ça tache ! On m’avait dit, et je ne suis pas le seul à l’avoir entendu, que dans ces vespasiennes, dans le petit canal destiné à recevoir l’urine, il y avait des morceaux de pains flottant librement ou bien amoureusement agencés dans de mignons petits filets à trou-trous comme ceux dans lesquels on vous vend les oignons ou les échalotes !

« Quoi, du pain dans des filets à trou-trous dans les pissotières parisiennes ? Mais pourquoi donc ? », me direz-vous fort justement ! Car il ne vous aura pas échappé, lecteurs sagaces, que d’une part que du pain n’a rien à faire dans un filet mais, que de plus, filet ou non, du pain n’a rien du tout à faire dans une pissotière !

Les plus crédules et mignons d’entre vous, auront sans doute une explication rationnelle à fournir. Ils imagineront peut-être des hommes souhaitant donner à manger aux pigeons, et qui de ce fait, auraient bourré leurs poches de morceaux de pains, lesquels auraient pu tomber par inadvertance dans la pissotière, au moment ou ils allaient se soulager. Ca aurait pu être la raison de la présence du pain en cet endroit, mais vous avez faux !

Dans les faits, la légende, mais est-ce une légende, prétendait que ces morceaux de pains, étaient laissés là à dessein, par des gens étranges et passablement cradingues que l’on nomme urophiles.

L'
urophilie ou ondinisme (ou urolagnie) est une paraphilie caractérisée par une forte excitation érotique éprouvée en buvant (ou faisant boire), ou en se recouvrant le corps (ou recouvrant le corps de son partenaire) d'urine. Chez certaines personnes, cette pratique est liée au BDSM (Bondage et Discipline, Domination et Soumission). Une variante de cette pratique consiste à uriner dans ses sous-vêtements et ses vêtements, parfois en public. Cette pratique est également connue sous le diminutif de "douche dorée" (ou «golden shower» pour les anglophones).

Ces personnes, selon la légende, auraient donc laissé ce pain, macérer dans l’urine des vespasiennes, puis seraient revenus le soir afin de le récupérer gorgé d’urine, afin de le consommer. Cette préparation culinaire, assez peu ragoûtante, j’en conviens, était appelée « croutonnade ». Les histoires colportées étaient toutes d’accord sur la présence de ce pain dans les vespasiennes, sur l’utilisation qui en était faite, sur le joli nom donné à la préparation (croutonnade) mais variaient ensuite sur le modus operandi de la consommation. Certaines histoires mettaient en scène de pauvres types seuls, dégustant leur croutonnade dans le plus grand secret, tandis que d’autres scénarios, avançaient que ces urophiles préféraient consommer leur plat favori en groupe.

Quoiqu’il en soit, même si la rumeur persiste à survivre aux vespasiennes, je ne sais toujours pas encore aujourd’hui, si la croutonnade fut une réalité aujourd’hui tombée en désuétude du fait de Jacques Chirac et de son goût immodéré pour le mobilier Decaux, ou bien une légende urbaine un peu cracra mais plutôt rigolote !

Enfin, réelle ou non, cette pratique m’aura permis, de faire un bel article richement documenté dans lequel vous aurez appris des tas de trucs, et de coller plein de mots-clés super ! Car amusez-vous à taper « croutonnade » ou « croutonade » sur Google, et vous constaterez qu’il n’y a qu’une
occurrence ! C’est super, je vais enfin avoir la première place dans une requête sur Google !"
http://psychotherapeute.blogspot.com/2007/03/la-soupe-hmmm-on-va-se-rgaler.html la source de l'articles

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Joe Flemke: A Short Skate film

No comment.



Joe Flemke: A Short Skate film
envoyé par BrettNovak. - Foot, rugby, surf et encore plus de sports en vidéo.

mercredi 25 août 2010

La nouvelle rappelle à la mode

Big Boi (né Antwan André Patton le 1er février 1975 à Savannah en Géorgie) est un artiste et producteur américain de hip-hop membre du duo alternatif OutKast. On lui donne également les surnoms de "Daddy Fat Sacks", "General Patton", "Sir Lucious L. Leftfoot", "Billy Ocean", "Hot Tub Tony" et "Francis the Savannah Chitlin' Pimp". (Source :http://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Boi)


Antwan André Patton (born February 1, 1975), better known by his stage name Big Boi, is an American rapper, song-writer, record producerand actor, best known for being a member of American hip-hop duo OutKast alongside Andre 3000. (Source:http://en.wikipedia.org/wiki/Big_Boi)

Son dernier album "Sir Lucious Left Foot... The Son of Chico dusty est disponible depuis le 2 Juillet sur Itunes store (ici)...




Et à croire qu'on aime bien quand les membres de groupes font des chansons en solo, voici un track de Cee Lo Green

Cee-Lo est auteur-compositeur-interprète, rappeur et producteur américain évoluant aussi bien dans le Hip-Hop, le Funk, leR&B ou la Soul. Il est principalement connu comme membre de l'un des groupes pionniers du Dirty South, Goodie Mob, actif depuis 1995, qu'il quittera en 1999. Outre une carrière en solo, il est également célèbre pour son duo formé avec le producteur Danger Mouse, Gnarls Barkley. (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cee-Lo)

Thomas DeCarlo Callaway (born May 30, 1975),[1] better known by his stage name Cee Lo Green, is an American hip hop, funk, soul, andR&B musician. He is a singer, rapper, songwriter, and record producer, best known as a member of Goodie Mob and more recently Gnarls Barkley, and has also recorded two critically acclaimed solo LPs. (Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Cee-Lo_Green)






Cee Lo Green "Fuck You"


Que du beau monde pour finir